Gatsby le magnifique
|
118 |

RÊVEZ DANGEREUSEMENT - Baz Luhrmann, réalisateur de Romeo + Juliette et de Moulin Rouge, adapte le roman emblématique Gatsby le Magnifique et nous offre un film à grand spectacle kitsch et flamboyant. Le mystérieux Gatsby retrouve son amour perdu Daisy, mariée. Mélodrame au montage frénétique, le film, à la mise en scène spectaculaire, brille de mille feux. Le film fait l'ouverture du festival de Cannes 2013 et c'est DiCaprio en personne qui déclare ouverte la cérémonie.

ma note
je suis fan

ajouter à mes films

Notez le film :
ecrire mon avis/critique

recommander à mes amis

BANDE ANNONCE
Gatsby le magnifique
UTILISATEURS
(3.65 pour 957 notes)
> BANDE ANNONCE
VF
Gatsby le magnifique : Films proches
<
1
2
>
Notez le film :
Notez le film :
Notez le film :
Notez le film :
Notez le film :
Notez le film :
Gatsby le magnifique: ADN
Emotions :
Emouvant
|
Triste
Genres :
Film dramatique
| Film dramatique américain
| Romance
Top Films:
Meilleur film dramatique
| Meilleur film dramatique américain
| Film dramatique 2013
| Top 100 films dramatiques
Styles
Blockbuster
Sélections
Luxure et décadence des riches
Synopsis du film Gatsby le magnifique
Printemps 1922. L'époque est propice au relâchement des mœurs, à l'essor du jazz et à l'enrichissement des contrebandiers d'alcool… Apprenti écrivain, Nick Carraway quitte la région du Middle-West pour s'installer à New York. Voulant sa part du rêve américain, il vit désormais entouré d'un mystérieux millionnaire, Jay Gatsby, qui s'étourdit en fêtes mondaines, et de sa cousine Daisy et de son mari volage, Tom Buchanan, issu de sang noble. C'est ainsi que Nick se retrouve au cœur du monde fascinant des milliardaires, de leurs illusions, de leurs amours et de leurs mensonges. Témoin privilégié de son temps, il se met à écrire une histoire où se mêlent des amours impossibles, des rêves d'absolu et des tragédies ravageuses et, chemin faisant, nous tend un miroir où se reflètent notre époque moderne et ses combats.
Photos du film Gatsby le magnifique
Ajouter une photo du film Gatsby le magnifique
Extraits de films, bande-annonces
Vous pouvez ajouter un extrait de film de Gatsby le magnifique
1
2
page 1
Listes avec le film Gatsby le magnifique
Ajouter une liste au film Gatsby le magnifique
Vous cherchez une liste des meilleurs blockbusters du cinéma mondial ? Votre recherche s'arrête ici puisque cinetrafic a compilé une liste des plus gros films à succès de l'histoire du cinéma....
Liste de films sur l’amour impossible.
De l’amour, oui ! Mais une belle histoire d’amour, un amour impossible !
Ces films, souvent adaptés d’un grand livre au Cinéma, ne racontent pas l’histoire d’amour...
La littérature a toujours été une source intarissable d'inspiration pour le cinéma. On ne compte plus, aujourd'hui, les adaptations...
vos dernières critiques de film
Ajouter une critique au film Gatsby le magnifique
Hallucinant ! Qu’est-ce qui a pris à Baz Luhrmann de saloper une telle histoire ? Où sont les subtilités, les sensibilités et le romantisme ? Bien sûr, faire un remake après celui de Jack Clayton était un pari difficile à tenir, et pas utile d’en refaire la même chose. Mille possibilités s’offraient à lui pour nous offrir un autre spectacle et d’autres émotions. Il eut pu situer l’histoire en d’autres lieux, autre époque, d’autres… Là, tout est en excès en toutes choses avec l’essence même disparue. Les paillettes à profusion, partouzes, mélange de musique de toutes époques, même du rap, et ce à des rythmes qui vont à contrario de la trame. L’arrogance et le mépris, le culot mafieux de Gatsby contrastent avec les transes amoureuses qui le portent à tout faire pour reconquérir le cœur d’une futile idiote. Que toutes les personnalités soient changées, interverties, exagérées ne me gène pas, si encore cela avait rendu une histoire passionnante et émouvante. Je me suis copieusement ennuyé, trépignant de voir la fin me libérer de mon strapontin.
De fait, Leonardo DiCaprio (Django unchained) est beau et brillant, mais les subtilités romantiques remplacées par la caricature du butor rendent malaisées l’attachement à son personnage. Je ne comprends pas bien Tobey Maguire (Brothers) qui se paie le luxe d’être mauvais et ridicule. Carey Mulligan (Drive) est une excellente actrice dans certains rôles. Elle ne l’est pas dans d’autres plus complexes comme dans Marylin. Là, elle est ridicule. Adelaide Clemens est jolie, Isla Fisher (Bachelorette) inexistante, alors qu’Elizabeth Debicki restera pour moi la plus marquante du film, par son charme et son jeu tout en réelle subtilité. Joel Edgerton (Animal kingdom) et Jason Clarke (Des hommes sans loi) sont noyés dans la masse…
Site web: http://glandeurnature.over-blog.com/page/2
De fait, Leonardo DiCaprio (Django unchained) est beau et brillant, mais les subtilités romantiques remplacées par la caricature du butor rendent malaisées l’attachement à son personnage. Je ne comprends pas bien Tobey Maguire (Brothers) qui se paie le luxe d’être mauvais et ridicule. Carey Mulligan (Drive) est une excellente actrice dans certains rôles. Elle ne l’est pas dans d’autres plus complexes comme dans Marylin. Là, elle est ridicule. Adelaide Clemens est jolie, Isla Fisher (Bachelorette) inexistante, alors qu’Elizabeth Debicki restera pour moi la plus marquante du film, par son charme et son jeu tout en réelle subtilité. Joel Edgerton (Animal kingdom) et Jason Clarke (Des hommes sans loi) sont noyés dans la masse…
Site web: http://glandeurnature.over-blog.com/page/2
0 pts

Peut-être avez-vous aimé le film De Baz Luhrmman? Pour ma part j'ai l'impression qu'on nous a envahi de publicité autour de ce film, que les gens se sont rués dans les salles à sa sortie et que le soufflé est immédiatemment retombé.
Gatsby, dans la vision de Baz Lurhmann est une énorme meringue, une pâtisserie dégoulinante de kitsch, sirupeuse jusqu'au dégoût, et risible. Je n'y ai pas trouvé grand chose de l'esprit de Fitzgerald (pas beaucoup d'esprit tout court). On est dans une longue publicité pour la télévision, avec des maladresses affligeantes. Je n'ai aimé ni la photographie du film, ni le traitement de l'histoire. Pour moi tout est dit dans la courte séquence où le spectateur découvre le fameux Gatsby. Nick, le narrateur, est étonné d'être le seul à avoir reçu une invitation pour l'une des fameuses fêtes de son voisin Gatsby. Ne l'ayant jamais vu il cherche à le rencontrer pendant la folle soirée. Alors qu'il s'adresse à un serveur dont le spectateur ne voit pas le visage, la fête bat son plein et trouve son apogée avec un feu d'artifices. Alors soudain, le serveur apparaît à l'écran, sur fond de feu d'artifice qui éclate dans les cieux, pour annoncer à un Nick incrédule "I'm Gatsby". Ambiance pub l'Oréal ou Chanel, ne manque plus qu'un petit mouvement d'épaule et un laché de cheveux longs pour Leonardo Dicaprio. C'est ridicule, outrancier, vulgaire. Rien n'est réussi en dehors de la bande-son et des costumes. Ce film est une sorte d'extension pour sa publicité pour le parfum Chanel qu'il avait tourné avec Nicole Kidman. Il nous vend Fitzgerald comme un produit commercial quelconque.
Cela m'a rappelé les shootings photos qu'on trouve dans les magazines tels que Vogue ou Vanity Fair. Luxueux, glamours, riches d'évocations. C'est comme si les pages d'un magazine s'étaient animées, sans qu'un réalisateur prenne part à l'affaire. Tous les moments importants sont râtés, tombent à côté. Que ce soit le fameux "Gatsby who?" de Daisy lorsqu'elle entend le nom de son ancien amant, ou bien la scène de leurs retrouvailles. Cela sonne faux. Le pauvre Leonardo DiCaprio semble un peu vain dans ce rôle et ce film qu'il domine et engloutit. En dehors de sa prestation il n'y a pas grand chose à voir. Des décors pas vraiment beaux, qui affichent leur aspect factice, de la caricature partout, de l'hystérie. Lorsque le cinéaste essaie de montrer le vulgaire de Myrtle et des gens avec qui Tom s'acoquine on est carrèment chez Guignol. Au fur et à mesure je ne cessais de me dire que les monteurs du film avaient du s'arracher les cheveux en voyant les séquences.
Bizarrement je ne me suis pas ennuyée. Mais je ne suis pas sûre que ce soit grâce à la réalisation car vu comment les autres spectateurs gigotaient derrière moi je crois qu'ils ont ressenti pas mal de longueurs. Connaissant le roman original j'étais surtout impatiente de voir comment certaines séquences importantes allaient être montrées. Cela m'a tenu en haleine jusqu'à la fin.
Je ne sais pas pourquoi le cinéaste a choisi d'adapter ce classique de Fitzgerald? L'adaptation d'une oeuvre littéraire doit avoir un objectif au-delà d'une simple mise en images d'une histoire. Sur ce projet je n'ai pas l'impression que le cinéaste avait des idées personnelles à injecter, si ce n'est celle de moderniser le récit avec sa bande-son. Et même cette idée me laisse dans le doute. Car le message de Fizgerald est déjà suffisamment fort et intemporel, il n'a pas besoin de s'embarasser de tout cela. Et même si l'idée de Lurhmann était juste d'adapter pour le goût du récit, c'est raté. Il y a des adaptations fidèles à leur roman original, qui ne se démarquent pas, mais ont une puissance car le spectateur sent que le réalisateur a compris le livre et qu'il a su retransmettre son essence à l'écran. Ici rien de tout ça. Seul le comédien principal semble avoir compris qui était Gatsby. Dommage. Ce qui m'énerve le plus c'est que le cinéaste a tenté de combler les trous du roman de Fizgerald, pour finir par ôter au récit tout son mystère, et empêcher le spectateur de souffler et surtout de s'interroger. Le réalisateur ne nous laisse pas une seconde nous demander qui est ce Gatsby, il se dépêche d'y répondre, jusqu'à nous faire suffoquer, après l'indigestion.
Gatsby, dans la vision de Baz Lurhmann est une énorme meringue, une pâtisserie dégoulinante de kitsch, sirupeuse jusqu'au dégoût, et risible. Je n'y ai pas trouvé grand chose de l'esprit de Fitzgerald (pas beaucoup d'esprit tout court). On est dans une longue publicité pour la télévision, avec des maladresses affligeantes. Je n'ai aimé ni la photographie du film, ni le traitement de l'histoire. Pour moi tout est dit dans la courte séquence où le spectateur découvre le fameux Gatsby. Nick, le narrateur, est étonné d'être le seul à avoir reçu une invitation pour l'une des fameuses fêtes de son voisin Gatsby. Ne l'ayant jamais vu il cherche à le rencontrer pendant la folle soirée. Alors qu'il s'adresse à un serveur dont le spectateur ne voit pas le visage, la fête bat son plein et trouve son apogée avec un feu d'artifices. Alors soudain, le serveur apparaît à l'écran, sur fond de feu d'artifice qui éclate dans les cieux, pour annoncer à un Nick incrédule "I'm Gatsby". Ambiance pub l'Oréal ou Chanel, ne manque plus qu'un petit mouvement d'épaule et un laché de cheveux longs pour Leonardo Dicaprio. C'est ridicule, outrancier, vulgaire. Rien n'est réussi en dehors de la bande-son et des costumes. Ce film est une sorte d'extension pour sa publicité pour le parfum Chanel qu'il avait tourné avec Nicole Kidman. Il nous vend Fitzgerald comme un produit commercial quelconque.
Cela m'a rappelé les shootings photos qu'on trouve dans les magazines tels que Vogue ou Vanity Fair. Luxueux, glamours, riches d'évocations. C'est comme si les pages d'un magazine s'étaient animées, sans qu'un réalisateur prenne part à l'affaire. Tous les moments importants sont râtés, tombent à côté. Que ce soit le fameux "Gatsby who?" de Daisy lorsqu'elle entend le nom de son ancien amant, ou bien la scène de leurs retrouvailles. Cela sonne faux. Le pauvre Leonardo DiCaprio semble un peu vain dans ce rôle et ce film qu'il domine et engloutit. En dehors de sa prestation il n'y a pas grand chose à voir. Des décors pas vraiment beaux, qui affichent leur aspect factice, de la caricature partout, de l'hystérie. Lorsque le cinéaste essaie de montrer le vulgaire de Myrtle et des gens avec qui Tom s'acoquine on est carrèment chez Guignol. Au fur et à mesure je ne cessais de me dire que les monteurs du film avaient du s'arracher les cheveux en voyant les séquences.
Bizarrement je ne me suis pas ennuyée. Mais je ne suis pas sûre que ce soit grâce à la réalisation car vu comment les autres spectateurs gigotaient derrière moi je crois qu'ils ont ressenti pas mal de longueurs. Connaissant le roman original j'étais surtout impatiente de voir comment certaines séquences importantes allaient être montrées. Cela m'a tenu en haleine jusqu'à la fin.
Je ne sais pas pourquoi le cinéaste a choisi d'adapter ce classique de Fitzgerald? L'adaptation d'une oeuvre littéraire doit avoir un objectif au-delà d'une simple mise en images d'une histoire. Sur ce projet je n'ai pas l'impression que le cinéaste avait des idées personnelles à injecter, si ce n'est celle de moderniser le récit avec sa bande-son. Et même cette idée me laisse dans le doute. Car le message de Fizgerald est déjà suffisamment fort et intemporel, il n'a pas besoin de s'embarasser de tout cela. Et même si l'idée de Lurhmann était juste d'adapter pour le goût du récit, c'est raté. Il y a des adaptations fidèles à leur roman original, qui ne se démarquent pas, mais ont une puissance car le spectateur sent que le réalisateur a compris le livre et qu'il a su retransmettre son essence à l'écran. Ici rien de tout ça. Seul le comédien principal semble avoir compris qui était Gatsby. Dommage. Ce qui m'énerve le plus c'est que le cinéaste a tenté de combler les trous du roman de Fizgerald, pour finir par ôter au récit tout son mystère, et empêcher le spectateur de souffler et surtout de s'interroger. Le réalisateur ne nous laisse pas une seconde nous demander qui est ce Gatsby, il se dépêche d'y répondre, jusqu'à nous faire suffoquer, après l'indigestion.
1 pts

TOP Bande-annonce
Ils sont fans
Leur dernier bon film
Autres films
Fermer 


Gatsby le magnifique
Titre Original:
The Great Gatsby
Année de production:
2013
Date de sortie:
15 mai 2013
Pays:
Australie
,
Etats-Unis
Genre:
Drame
,
Romance
,
Amour
Durée:
2h 23min
Réalisé par:
Acteurs:
- Leonardo DiCaprio
- Tobey Maguire
- Carey Mulligan
- Joel Edgerton
- Elizabeth Debicki
- Isla Fisher
- Jason Clarke
- Amitabh Bachchan
- Callan McAuliffe
- Adelaide Clemens
- Steve Bisley
- Richard Carter (I)
- Vince Colosimo
- Max Cullen
- Mal Day
- Charlize Skinner
- Brendan Maclean
- Kate Mulvany
- Kahlia Greksa
- Garrett William Fountain
- David Furlong
- Daniel Gill
- Iota
- Barry Otto
- John Cha Cha OConnell
- Ben McIvor
- Brian Rooney
- Gemma Ward
- Goran D. Kleut
- Denning Isles
- Ryan Cooper