Docu terrorisme
27 Films
2011 -
FRANCE -
Docu-Reportage
Réalisation :
Mosco Boucault
Acteurs :
Raffaele Fiore,
Prospero Gallinari,
Valerio Morucci
Histoire de l'organisation révolutionnaire italienne racontée par 4 membres du commando qui a enlevé et tué Aldo Moro.
Ils avaient entre 20 et 30 ans. Ils étaient originaires de Bari, de Rome et de Reggio-Emilia. Certains étaient étudiants, d'autres ouvriers, artisans, techniciens. L’un d'entre eux venait du monde rural. Ils formaient les « Brigades Rouges ». Le 16 mars 1978, dans une Rome en état de siège, dix d'entre eux parviennent à bloquer le convoi d’Aldo Moro, à tuer son escorte, à l'enlever et à l'enfermer dans ce qu'ils ont appelé "une prison du peuple". La séquestration de ce dirigeant politique prestigieux, symbole de l'Etat italien, va durer 55 jours. Comme en Allemagne et en Amérique du sud, ils ont exigé pour la libération de leur otage, la libération de 13 combattants révolutionnaires prisonniers. Ils voulaient de fait être reconnus comme une force d'opposition armée. Devant le refus de céder du gouvernement italien, ils achèveront leur otage. Cet événement, qui concentre en lui la violence des «Années de plomb» en Italie, va paradoxalement sonner le glas d'un mouvement qui s'était fixé comme objectif, dix ans auparavant, de faire la révolution par les armes, de créer une société plus juste par l'affrontement armé avec le Capital et les institutions de l'Etat italien. Cette histoire des Brigades Rouges est reconstituée par 4 membres du commando qui a enlevé, séquestré et tué Aldo Moro.
Ils avaient entre 20 et 30 ans. Ils étaient originaires de Bari, de Rome et de Reggio-Emilia. Certains étaient étudiants, d'autres ouvriers, artisans, techniciens. L’un d'entre eux venait du monde rural. Ils formaient les « Brigades Rouges ». Le 16 mars 1978, dans une Rome en état de siège, dix d'entre eux parviennent à bloquer le convoi d’Aldo Moro, à tuer son escorte, à l'enlever et à l'enfermer dans ce qu'ils ont appelé "une prison du peuple". La séquestration de ce dirigeant politique prestigieux, symbole de l'Etat italien, va durer 55 jours. Comme en Allemagne et en Amérique du sud, ils ont exigé pour la libération de leur otage, la libération de 13 combattants révolutionnaires prisonniers. Ils voulaient de fait être reconnus comme une force d'opposition armée. Devant le refus de céder du gouvernement italien, ils achèveront leur otage. Cet événement, qui concentre en lui la violence des «Années de plomb» en Italie, va paradoxalement sonner le glas d'un mouvement qui s'était fixé comme objectif, dix ans auparavant, de faire la révolution par les armes, de créer une société plus juste par l'affrontement armé avec le Capital et les institutions de l'Etat italien. Cette histoire des Brigades Rouges est reconstituée par 4 membres du commando qui a enlevé, séquestré et tué Aldo Moro.
Après un mois d'investigations en Irak, cette enquête révèle, pour la première fois, le visage complet et effroyable de Daech : une organisation djihadiste aussi riche qu'un État africain, devenue une multinationale de la terreur.
D'abord simple soldat au sein d'Al-Qaïda, Nasser Al-Bahri - alias Abou Jandal - devient rapidement le garde du corps du chef de l'organisation terroriste, Oussama Ben Laden.
Sa particularité : avoir été le seul homme à pouvoir tuer Ben Laden, sur son ordre : « Voici une arme avec deux balles. Si un jour on se fait prendre, il y en aura une pour toi et une pour moi ».
Arrêté au Yémen en 2001, il est interrogé à plusieurs reprises par Ali Soufan, agent américain du FBI. Ses déclarations permettront d’identifier les différents acteurs des attentats du 11 Septembre.
A travers le témoignage d’Abou Jandal, ainsi que les commentaires de différents protagonistes dont Ali Soufan, le film se propose de faire un état des lieux d’Al-Qaïda « de l’intérieur » et au plus proche de Ben Laden.
Sa particularité : avoir été le seul homme à pouvoir tuer Ben Laden, sur son ordre : « Voici une arme avec deux balles. Si un jour on se fait prendre, il y en aura une pour toi et une pour moi ».
Arrêté au Yémen en 2001, il est interrogé à plusieurs reprises par Ali Soufan, agent américain du FBI. Ses déclarations permettront d’identifier les différents acteurs des attentats du 11 Septembre.
A travers le témoignage d’Abou Jandal, ainsi que les commentaires de différents protagonistes dont Ali Soufan, le film se propose de faire un état des lieux d’Al-Qaïda « de l’intérieur » et au plus proche de Ben Laden.
Ce documentaire qui explore l'univers délirant des obsédés du complot«Le 11 septembre 2001 au matin à la Maison-Blanche, les fonctionnaires s'affairent. Leur mission, ordonnée par le président américain lui-même, est top secrète. Entre 8h46 et 10h10, deux avions téléguidés doivent s'encastrer dans les tours du World Trade Center et un missile s'écraser sur le Pentagone» Tel est l'hallucinant scénario que les tenants de la théorie du complot s'ingénient à démontrer à partir des folles rumeurs qui ont fait le tour du monde après le 11-Septembre. L'un de ceux qui ont propagé ces théories délirantes est un Français, Thierry Meyssan, journaliste et président du réseau Voltaire.
Dans les coulisses du pouvoir, ce documentaire raconte les attentats commis en France en janvier et novembre 2015. Les principaux acteurs de ces événements livrent des témoignages inédits, décrivant leurs états d'âmes, leurs décisions difficiles ainsi que les stratagèmes politiques et les erreurs commises. Avec des images, elles aussi inédites, ce récit permet d'être au plus près des dirigeants français lors de la tuerie de Charlie Hebdo, la traque des terroristes, la prise d'otage de l'Hyper Cacher, le sursaut d'unité nationale et les attentats du 13 novembre. Il laisse aussi apparaître les moments de doute, les failles et les calculs politiques.
Ce sont les déçus de l’État Islamique. Des combattants désillusionnés, des hommes choqués par les atrocités qu’ils ont parfois commises eux-mêmes. Il a fallu sept voyages en Turquie aux deux réalisateurs français pour convaincre cinq d’entre eux de témoigner. On le sent dans les 52 minutes de documentaire : ces déserteurs sont des hommes en sursis. Ils vivent en Turquie mais savent bien que la pieuvre de Daesh peut encore les rattraper. Aucun n'avoue vraiment avoir du sang sur les mains, mais tous racontent avoir eu un jour un déclic.
Une enquête exclusive et glaçante sur les origines du groupe terroriste islamiste et sa sanglante dérive, nourrie par les exactions de l'armée.
Le quotidien de ceux qui vivent ou travaillent à proximité des lieux touchés par les attentats du 13 novembre 2015 avec, en fil rouge, les milliers de témoignages déposés par des anonymes. Un hommage documentaire plein de délicatesse.
Avant le 11-Septembre, quelque quatre cents personnes avaient prêté allégeance à Al-Qaïda. Seize ans plus tard, on compte des dizaines de milliers de militants djihadistes répartis sur plusieurs continents. Les attaques terroristes se sont multipliées à travers le monde, entraînant en Occident une tension des relations avec les minorités et les pays musulmans. En violant les valeurs démocratiques qu'elle prétendait défendre, la "guerre contre la terreur" lancée par l'administration Bush au lendemain du 11-Septembre a eu l'effet d'"un coup de marteau dans une fiole de mercure" : elle a fragmenté une menace autrefois circonscrite, et s'est muée en un conflit mondial et permanent, formidable terrain pour le recrutement djihadiste, mais aussi pour les groupes xénophobes qui montent en puissance, en Europe comme aux États-Unis. Tel est le sombre bilan qu'établissent, face au réalisateur Ilan Ziv (Capitalisme), des dirigeants politiques, des responsables de la sécurité et des généraux américains, britanniques, français et israéliens qui ont vécu les événements de l’intérieur et au plus haut niveau. Qu'ils restent fidèles à leurs actes passés, comme le néoconservateur Richard Perle, ou qu'ils s'avouent hantés par la culpabilité, comme l'ancien bras droit de Colin Powell au secrétariat d'État, Lawrence Wilkerson, ils permettent de comprendre pourquoi cette guerre qui a ravagé le Moyen-Orient et causé des centaines de milliers de morts constitue une impasse dont il est difficile de sortir. Du mensonge délibéré qui a déclenché l'invasion de l'Irak aux "sites noirs" où les États-Unis ont pratiqué la torture, Ilan Ziv décrypte les faits à l'aune du présent, pour montrer combien les concepts forgés par une administration pourtant discréditée restent plus que jamais agissants.
Non loin du centre prospère de Bruxelles, Molenbeek, deuxième commune la plus pauvre de Belgique, avec un taux de chômage qui atteint 45 % pour les moins de 25 ans, a vu grandir ou passer nombre des auteurs d'attentats islamistes qui ont marqué l'actualité depuis trente ans. Mais c'est au lendemain des attaques du 13 novembre 2015, dont quatre des responsables étaient des enfants du quartier, que celui-ci est devenu mondialement célèbre comme un berceau du djihadisme européen. Le tournage de ce documentaire a commencé peu après, et ses auteurs étaient sur place quand Salah Abdeslam a été arrêté, le 18 mars 2016, et, quatre jours plus tard, quand de nouveaux attentats ont ensanglanté Bruxelles.
À la rencontre d'habitants et de travailleurs sociaux, ils tentent de comprendre pourquoi Molenbeek a ainsi nourri le djihadisme, mais aussi comment leurs interlocuteurs vivent les événements et s'organisent pour y faire face. Jeunes et vieux, parents meurtris et écoliers, imam ou curé, travailleurs sociaux et artistes, sans oublier un slameur en herbe, ils composent un portrait de groupe sensible, riche de visages et de questions, et rappellent combien la stigmatisation collective induite par des médias avides de simplification relève de l'absurde.
À la rencontre d'habitants et de travailleurs sociaux, ils tentent de comprendre pourquoi Molenbeek a ainsi nourri le djihadisme, mais aussi comment leurs interlocuteurs vivent les événements et s'organisent pour y faire face. Jeunes et vieux, parents meurtris et écoliers, imam ou curé, travailleurs sociaux et artistes, sans oublier un slameur en herbe, ils composent un portrait de groupe sensible, riche de visages et de questions, et rappellent combien la stigmatisation collective induite par des médias avides de simplification relève de l'absurde.