Docu sculpture
13 Films
Ce film suit un chantier exceptionnel, celui de la restauration d’une des plus grandes icônes du Louvre.Une œuvre autour de laquelle se pressent chaque année des millions de visiteurs mais dont l’histoire est encore mal connue du grand public et dont de nombreux pans restent, aujourd’hui encore, mystérieux aux yeux mêmes des historiens d’art.
40 000 visiteurs chaque jour. 8 millions chaque année. La Victoire de Samothrace a marqué des générations de visiteurs, elle est une icône. Pourtant, malgré son immense notoriété, on ne sait quasiment rien de son histoire. Encrassés au point de perdre toute lisibilité, les 30 tonnes de marbre de cet exceptionnel monument ont subi pendant près d’un an un examen clinique impitoyable, mené par une équipe de douze personnes, à l’abri des regards. Le film suit le spectaculaire chantier de sa restauration. Une rencontre unique avec une œuvre toute entière source de questions. Un voyage dans l’histoire méconnue de cette grande mutilée, sans tête ni bras, vieille de plus de 2000 ans, arrivée au Louvre en pièces détachées, après un long périple depuis le nord de la mer Egée.
40 000 visiteurs chaque jour. 8 millions chaque année. La Victoire de Samothrace a marqué des générations de visiteurs, elle est une icône. Pourtant, malgré son immense notoriété, on ne sait quasiment rien de son histoire. Encrassés au point de perdre toute lisibilité, les 30 tonnes de marbre de cet exceptionnel monument ont subi pendant près d’un an un examen clinique impitoyable, mené par une équipe de douze personnes, à l’abri des regards. Le film suit le spectaculaire chantier de sa restauration. Une rencontre unique avec une œuvre toute entière source de questions. Un voyage dans l’histoire méconnue de cette grande mutilée, sans tête ni bras, vieille de plus de 2000 ans, arrivée au Louvre en pièces détachées, après un long périple depuis le nord de la mer Egée.
Sculpteur de génie, longtemps incompris, Auguste Rodin a inscrit son oeuvre à l'avant-garde de son temps. Un documentaire qui retrace le parcours d'un artiste hors normes en le replaçant dans le bouillonnement artistique de l'époque.
En 1879, le ministre des Beaux-Arts Edmond Turquet commande à Auguste Rodin une colossale sculpture pour le futur musée des Arts décoratifs. Se référant à la porte de bronze exécutée au XVe siècle par Lorenzo Ghiberti pour le baptistère de Florence et considérée par Michel-Ange comme "La porte du paradis", Rodin va passer plus de trois décennies à imaginer chaque créature, chaque détail, de La porte de l'enfer. Constituée de dix panneaux, l'œuvre, inspirée par La divine comédie de Dante, ne sera pas entièrement achevée. Après la mort de l'artiste, en 1917, plusieurs sculptures seront extraites de la monumentale matrice, notamment Le penseur et Le baiser.
Vingt ans après la mort du sculpteur César, ce documentaire retrace, avec le bagout de son attachant inspirateur, l'oeuvre révolutionnaire d'un artiste instinctif.
Rien ne destinait cet enfant né à Marseille en 1921, et issu d'un milieu modeste, à devenir un artiste d'avant-garde. À 12 ans, celui qui s'appelle encore César Baldaccini travaille dans un bar pour aider son père, mais étudie aussi le dessin. En 1943, il monte à Paris et s'inscrit aux Beaux-Arts. Il choisit la sculpture, un art dispendieux pour cet étudiant désargenté. Dès les années 1950, il façonne de fins animaux à partir de débris métalliques ramassés dans les usines. Cet alliage entre son imaginaire méditerranéen et ces matériaux industriels lui vaut d'être remarqué par Picasso. Mais en 1960, cet instinctif, désormais en vogue, opère une mutation radicale. Fasciné par les presses hydrauliques, il présente trois voitures compressées au Salon de mai. L'artiste s'efface devant la machine, et l'esthétique morbide de la casse irradie la sculpture. Tollé !
Rien ne destinait cet enfant né à Marseille en 1921, et issu d'un milieu modeste, à devenir un artiste d'avant-garde. À 12 ans, celui qui s'appelle encore César Baldaccini travaille dans un bar pour aider son père, mais étudie aussi le dessin. En 1943, il monte à Paris et s'inscrit aux Beaux-Arts. Il choisit la sculpture, un art dispendieux pour cet étudiant désargenté. Dès les années 1950, il façonne de fins animaux à partir de débris métalliques ramassés dans les usines. Cet alliage entre son imaginaire méditerranéen et ces matériaux industriels lui vaut d'être remarqué par Picasso. Mais en 1960, cet instinctif, désormais en vogue, opère une mutation radicale. Fasciné par les presses hydrauliques, il présente trois voitures compressées au Salon de mai. L'artiste s'efface devant la machine, et l'esthétique morbide de la casse irradie la sculpture. Tollé !
2018 -
FRANCE -
Documentaire, Maladie, Folie, Handicap
Réalisation :
Arthur Borgnis
Acteurs :
avis du public :
2.6/5
L’art brut regroupe des œuvres de malades mentaux, mais aussi d’adeptes du spiritisme et d’autodidactes inspirés. Grand absent de l’histoire de l’art, il bouleverse nos critères esthétiques et culturels, révolutionne notre rapport à la folie. Ce film nous invite à nous perdre dans des univers à la beauté insensée, dans les œuvres d’ Adolf Wölfli, Aloïse Corbaz, Augustin Lesage, August Natterer… « Eternity Has no Door of Escape » qui est le premier film consacré à l’histoire de l’art brut, nous permet d’aller à sa rencontre, et de nous interroger sur les mystères de la création.