Docu Proche-Orient
12 Films
Portrait à vif d'une guerre dans les années 70...
Pierre Brouwers nous emmène en Palestine dans des territoires encore inconnus et reculés disposant de leur propre part de magie.
Une enquête inédite et glaçante sur l'arme invisible du régime de Bachar al-Assad : l'enlèvement, la torture puis le meurtre de dizaines de milliers de Syriens. Adolescents raflés dans leurs écoles, manifestants envoyés dans des camions aux destinations inconnues, passants arrêtés arbitrairement : ces innombrables disparitions révèlent l'implacable machine de mort secrètement mise en place par Damas.
Ce sont les déçus de l’État Islamique. Des combattants désillusionnés, des hommes choqués par les atrocités qu’ils ont parfois commises eux-mêmes. Il a fallu sept voyages en Turquie aux deux réalisateurs français pour convaincre cinq d’entre eux de témoigner. On le sent dans les 52 minutes de documentaire : ces déserteurs sont des hommes en sursis. Ils vivent en Turquie mais savent bien que la pieuvre de Daesh peut encore les rattraper. Aucun n'avoue vraiment avoir du sang sur les mains, mais tous racontent avoir eu un jour un déclic.
Depuis plus de trois ans, la Syrie se meurt. Près de 200 000 civils et combattants ont été tués dans cette guerre inégale contre les forces de Baschar Al Assad.
Alep est le dernier bastion rebelle. Tous les jours, les hélicos de Bachar lâchent des bombes sur la ville assiégée, décimant autant de combattants que de civils. Les bombes mais aussi les tirs de snipers, le manque d’eau et de nourriture rythment le quotidien des civils qui ont décidé de rester et de résister.
Moatez, 13 ans se prépare à devenir combattant...comme son frèreHussein,16 ans, déjà moudjahidin qui a rejoint les rangs du FSA avec son père. Si les hommes sont en première ligne, les enfants sont de plus en plus présents lors des combats.
A travers les regards croisés de ces deux frères, le film nous emmène au plus profond des pensées, certitudes, doutes de ces jeunes Syriens.
Pourquoi un enfant de 13 ans prend-il les armes aujourd'hui en Syrie ?
Pourquoi veulent-ils se battre, quels sont leurs motivations, leurs envies, leurs peurs ?
Ce film partage le quotidien de cette famille résistante à Alep. Qui sont-ils vraiment ces rebelles syriens du FSA dits modérés ? Comment se préparent-ils au combat ? Quels sont les choix de la population civile à l’heure où le fondamentalisme religieux est si fédérateur ?
Alep est le dernier bastion rebelle. Tous les jours, les hélicos de Bachar lâchent des bombes sur la ville assiégée, décimant autant de combattants que de civils. Les bombes mais aussi les tirs de snipers, le manque d’eau et de nourriture rythment le quotidien des civils qui ont décidé de rester et de résister.
Moatez, 13 ans se prépare à devenir combattant...comme son frèreHussein,16 ans, déjà moudjahidin qui a rejoint les rangs du FSA avec son père. Si les hommes sont en première ligne, les enfants sont de plus en plus présents lors des combats.
A travers les regards croisés de ces deux frères, le film nous emmène au plus profond des pensées, certitudes, doutes de ces jeunes Syriens.
Pourquoi un enfant de 13 ans prend-il les armes aujourd'hui en Syrie ?
Pourquoi veulent-ils se battre, quels sont leurs motivations, leurs envies, leurs peurs ?
Ce film partage le quotidien de cette famille résistante à Alep. Qui sont-ils vraiment ces rebelles syriens du FSA dits modérés ? Comment se préparent-ils au combat ? Quels sont les choix de la population civile à l’heure où le fondamentalisme religieux est si fédérateur ?
Plus de quatre mille en 1977 en Cisjordanie, près de quatre cent mille aujourd'hui : les colons sont devenus incontournables, autant par leur implantation territoriale croissante que par leur impact idéologique et politique sur la société israélienne.
En 1967, la victoire d'Israël lors de la guerre des Six Jours et sa mainmise sur Jérusalem-Est et la Cisjordanie offrent de nouvelles perspectives à ceux qui rêvent de retrouver la "Judée-Samarie" biblique. Certains, comme Hanan Porat (inspirateur des colonies), rétablissent le kibboutzim de leurs parents, évacués lors de la guerre d'indépendance de 1948; d'autres, comme les disciples du grand rabbin Kook, voient dans le succès militaire un signe de Dieu appelant à une mission divine. Malgré les réticences du pouvoir en place, Naplouse, Hébron et Jéricho deviennent des villes à investir pour ceux qui se définissent comme des néopionniers. Sous l'impulsion du mouvement populiste Gush Emunim, le gouvernement comprendra vite son intérêt à inplanter des colonies militarisées au sein même des territoires palestiniens…
En 1967, la victoire d'Israël lors de la guerre des Six Jours et sa mainmise sur Jérusalem-Est et la Cisjordanie offrent de nouvelles perspectives à ceux qui rêvent de retrouver la "Judée-Samarie" biblique. Certains, comme Hanan Porat (inspirateur des colonies), rétablissent le kibboutzim de leurs parents, évacués lors de la guerre d'indépendance de 1948; d'autres, comme les disciples du grand rabbin Kook, voient dans le succès militaire un signe de Dieu appelant à une mission divine. Malgré les réticences du pouvoir en place, Naplouse, Hébron et Jéricho deviennent des villes à investir pour ceux qui se définissent comme des néopionniers. Sous l'impulsion du mouvement populiste Gush Emunim, le gouvernement comprendra vite son intérêt à inplanter des colonies militarisées au sein même des territoires palestiniens…