Docu Histoire 19e
20 Films
2010 -
ALLEMAGNE -
Documentaire, 19e siècle, Afrique
Réalisation :
Joël Calmettes
Acteurs :
Carlo Brandt,
Andreas Eckert,
Pierre-Loup Rajot
avis du public :
2.6/5
15 novembre 1884. À l’initiative de Bismarck, une conférence internationale réunit à Berlin les représentants de toutes les grandes puissances européennes, ainsi que ceux de l’Empire ottoman et des États-Unis. À l’heure où les visées colonisatrices en Afrique s’intensifient, son objectif est d’organiser le partage du bassin du Congo et, plus généralement, d’établir des règles pour la colonisation du centre de l’Afrique. Car si les Européens se sont depuis longtemps installés le long des côtes, le cœur du continent est encore presque totalement terra incognita et attise les convoitises. Pendant plusieurs semaines, des diplomates qui ne connaissent rien à l’Afrique et n’y mettront jamais les pieds vont y tracer des frontières, au nom du libre commerce et de la mission civilisatrice de l’homme blanc…
Entre révolution industrielle, imaginaire collectif et chef-d’œuvre littéraire, la grande épopée américaine de la chasse à la baleine au XIXe siècle. Un très beau film, aussi documenté qu’inspiré.
Des photos oubliées, quelques textes recopiés… C’est en retrouvant, dans une vieille valise, les traces fugaces d’un oncle mort en France en 1915 que Don Kent entreprend son voyage à travers l’Europe d’avant-guerre, à la découverte du Monde d’hier merveilleusement décrit par Stefan Zweig. À quoi ressemblait-elle, cette Belle Époque qui s’engouffrait, faussement confiante, dans la modernité, faisant mine d’ignorer les démons qui allaient précipiter sa chute ? Archives rares, partitions musicales, extraits littéraires ou cinématographiques… : au fil de rencontres et d’étapes, de Vienne à Paris en passant par Saint-Pétersbourg, le réalisateur croise les regards d’intellectuels singuliers pour recomposer ce passé d’il y a tout juste cent ans. Le roman foisonnant d’une époque dont émerge un continent triomphant, suspendu inconsciemment au bord de l’abîme, et dont les contradictions nourrissent de profondes tensions. Au-delà des débats d’historiens sur les multiples origines du chaos, de l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand, le 28 juin 1914, à l’instabilité chronique des Balkans, le film sonde avec acuité l’âme torturée d’une Europe à son apogée, avant l’inexorable déclin.
Le 25 juin 1876, le général Custer se fait massacrer avec 261 de ses hommes par les guerriers du chef sioux Sitting Bull lors de la bataille de Litlle Big Horn. Ce désastre militaire n'en fait pas moins entrer ce jeune général de cavalerie, fauché au sommet de sa gloire, dans la légende de la conquête de l'Ouest.
Par-delà la légende, une évocation exaltante de Calamity Jane, dont la vie épouse tous les grands moments de la conquête de l'Ouest. Des grandes plaines de l'Ouest aux villes champignons, des convois de pionniers aux premières lignes de chemin de fer, du cowboy solitaire des frontières aux premiers journalistes reporters, ce documentaire retrace l'émouvant parcours d'une femme hors normes.
L’expédition apocalyptique de la Grande Armée sur les terres d’Alexandre Ier. Un docu-fiction flamboyant servi par de nouvelles techniques d’animation de l’image.
À partir du célèbre tableau de Théodore Géricault, enquête sur le terrible fait divers qui en fut à l'origine. Un documentaire-fiction ambitieux qui magnifie puissance créative et instinct de survie. Et réserve une surprise grandeur nature.
L'affaire Dreyfus est le conflit social et politique majeur de la Troisième République survenu à la fin du XIXe siècle, autour de l’accusation de trahison faite au capitaine Alfred Dreyfus, Français d’origine alsacienne et de confession juive, qui sera finalement innocenté.
Cette affaire a perturbé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les dreyfusards partisans de l’innocence de Dreyfus, et les antidreyfusards partisans de sa culpabilité.
La condamnation du capitaine Dreyfus était une erreur judiciaire sur fond d'espionnage et d'antisémitisme. La révélation de ce scandale en 1898, par Émile Zola dans son célèbre article de presse " J’Accuse...!", provoqua une succession de crises politiques et sociales uniques en France.
À son paroxysme en 1899, l'affaire révéla les clivages de la France de la Troisième République, où l'opposition entre le camp des dreyfusards et celui des anti-dreyfusards suscita de très violentes polémiques nationalistes et antisémites, diffusées par une presse influente. Elle ne s'acheva véritablement qu'en 1906, par un arrêt de la Cour de cassation qui innocenta et réhabilita définitivement Dreyfus.
Cette affaire a perturbé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les dreyfusards partisans de l’innocence de Dreyfus, et les antidreyfusards partisans de sa culpabilité.
La condamnation du capitaine Dreyfus était une erreur judiciaire sur fond d'espionnage et d'antisémitisme. La révélation de ce scandale en 1898, par Émile Zola dans son célèbre article de presse " J’Accuse...!", provoqua une succession de crises politiques et sociales uniques en France.
À son paroxysme en 1899, l'affaire révéla les clivages de la France de la Troisième République, où l'opposition entre le camp des dreyfusards et celui des anti-dreyfusards suscita de très violentes polémiques nationalistes et antisémites, diffusées par une presse influente. Elle ne s'acheva véritablement qu'en 1906, par un arrêt de la Cour de cassation qui innocenta et réhabilita définitivement Dreyfus.
Le 18 juin 1815, dans une "morne plaine" wallonne, se déroule une bataille majuscule, de celles qui marquent les changements d’époque. Après Waterloo, Napoléon sera contraint d’abdiquer, la France perdra à tout jamais son statut de première puissance mondiale et l’Empire britannique connaîtra un nouvel essor. Pour le bicentenaire de Waterloo, un docu-fiction haletant.
Si certains grands travaux commencés avant Haussmann ont, en 1853, déjà bien contribué à moderniser la capitale (le boulevard de Strasbourg est achevé, le quartier des Halles a été remanié par Baltard et les premiers pavillons de fer installés, la rue Rambuteau a été percée), les travaux d’Haussmann restent ceux qui l’ont fondamentalement et durablement ciselée. Et pourtant peu de Parisiens se souviennent encore d’Haussmann, si ce n’est par le prisme des critiques qui lui ont été adressées : démolition de quartiers historiques, volonté de répression des soulèvements populaires, exode des pauvres en périphérie de la ville, dépenses phénoménales. Mais tout aussi légitimes qu’elles soient, que valent ces critiques face aux progrès phénoménaux que nous devons à Haussmann : hygiène, circulation, éclairage, confort…
Une reconstitution spectaculaire et rigoureusement documentée de l'expédition militaro-scientifique de Bonaparte au pays des pharaons, qui permit l'éclosion de l'égyptologie. Ce premier volet débute à Toulon, le 19 mai 1798 : quarante mille soldats, dix mille marins et 167 scientifiques et artistes se lancent à l'assaut des flots...