Vénéneuses

Synopsis et Consensus de la critique

Le plus ingérable des artistes du cinéma français affiche, aujourd'hui, en tant que réalisateur, plus de 65 longs-métrages ! Dont certains sortis en cascade, la même année... Celui qui signa Un drôle de paroissien (1963) ou L'Ibis rouge (1975), puis A mort l'arbitre ! (1984), Le Miraculé (1987) ou Les Saisons du plaisir (1988), a alterné, depuis le début des années 2000, les retours plus maîtrisés – Le Furet (2003), Grabuge ! (2005), Le Renard jaune (2013) – les films en colère à la va vite – Le Glandeur (2000), La Bête de miséricorde (2001), puis Les Araignées de la nuit, Le Deal, Le Bénévole, Le Mentor... – les purs délires – Le Dossier Toroto, Le Cabanon rose – et les petits polars à l'ancienne, tels 13 French Street. C'est dans cette catégorie que se range Vénéneuses. Côté casting, on y retrouve : Jean-Pierre Mocky lui même, bien sûr, en vieux bandit, de jeunes actrices encore peu connues pour jouer les séductrices, et les vieux copains Richard Bohringer et Jean-François Stévenin, dans des rôles forts en gueule. Ainsi que Slimane Dazi. Un film exploité à sa sortie dans un seul cinéma à Paris : le Desperado !

Vénéneuses

avis du public :

2,2

critique presse :

2,2

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